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Za 4, 14 : "Ce sont les deux personnes désignées pour l'huile, celles qui se tiennent devant le Maître de toute la terre."

Se libérer de l'oppression - 02 - Survivre

 

"Frémissez de colère, mais ne péchez pas !" Ps 4, 5
Durée : 34 min 1 fichier mp3
 
 

Dans la première partie, nous avons schématisé les 3 sphères principales dans lesquelles les mauvais esprits exercent leur influence. Pour le moment, je n'arrive plus à voir  l'action de DIEU dans ma vie, tant je suis au plus mal.

Ce second volet donne des clefs afin de "survivre" dans ce moment où je me sens le plus mal, dans une situation d'oppression satanique.

Si vous vous dîtes : "j'ai touché le fond, j'ai déjà joué la carte des amis qui me réconfortent et je suis à deux doigts de faire une grosse bêtise"; alors cette page qui présente la partie n°2, est pour vous.

Lorsque je me sens complètement perdu, abandonné-e, au fond du fond, je suis généralement dans une difficulté notoire à réfléchir sereinement et à prendre des décisions constructives. L'une des manières dont se sert l'adversaire afin de me couler, est de me saturer de fiel et d'absinthe, comme dit la Bible, qui m'engluent et me font désespérer (on les a appelés "crapauds", ou d'esprits de "rang 3" dans la partie 1). Afin d'avoir un peu d'air, d'espace vital, il me sera nécessaire de les chasser. Cette page présente plusieurs moyens qui me sont accessibles : 1) en extériorisant ce qui est en moi (par exemple avec des psaumes), 2) en implorant le pardon ou 3) en exerçant mon autorité à l'encontre des démons de rang 3 qui se sont collés à moi.

 

1 - Extérioriser ce qui est en moi

Un des pièges principaux, dans ce cas, est, du fait des émotions négatives qui sont en moi, et un peu par la force de l'habitude, de faire ou dire des choses qui vont blesser DIEU (et empirer mon état). Et pourtant j'ai besoin d'extérioriser toute cette douleur qui est en moi, la garder pour moi serait pire que tout. La Parole de DIEU recèle des trésors de remèdes pour ce type de situation. En voici quelques-uns. Il s'agit de psaumes, poèmes que l'on peut lire ou chantonner selon l'humeur. Je recommande fortement, au minimum, de les lire des lèvres, même à voix basse (la prière dans notre tête étant moins performante).

 

1-1 : Des psaumes contre la colère

L'une des choses les plus insupportables est de me répéter en boucle cette situation insupportable qui est la mienne, que c'est de ma faute, qu'il m'est insupportable que ces ennemis humains et/ou spirituels soient aujourd'hui plus forts que moi. DIEU a pensé à tout ! Il a inséré dans la Bible des prières capables de canaliser ma colère, de l'extérioriser, sans que je pèche, lorsque je les prie. Notamment ces trois psaumes-là (qui sont d'une grande violence) :

Psaumes 57-82-108 contre la colère 

Essayez, ça "débouche" !

 

1-2 : Des psaumes contre l'amertume

Dans le même genre, si j'ai du ressentiment contre des personnes qui m'ont blessé-e et je me repasse en boucle les situations blessantes - et surtout en parallèle : arrêter absolument de parler de ces personnes à qui que ce soit (ce qui donne de l'énergie à mes ennemis visibles et invisibles). 

Psaumes 4-36-37 contre l'amertume 

 

1-3 : Des psaumes contre l'injustice

Le sentiment d'injustice est légitime, mais demande toujours à être affiné dans la prière. Ces psaumes sont là pour ça.

Psaumes 7-35-94 contre l'injustice 

 

 

1-4 : Afin de réussir à dormir...

Oui, parce que le manque de sommeil est quand même un sérieux problème dans pareil cas. Voici des psaumes pour cette circonstance.

Psaumes 6-31-37-50 pour la paix de l'âme 

 

1-5 : Afin de réussir à pleurer

Les larmes ont été crées par le SEIGNEUR, car elles font du bien : mon corps expulse ce liquide salé qui m'aide dans la douleur. Et elles ont un rôle certain afin que ma douleur sorte du coeur.

Pleurer signifie, outre les larmes elles-mêmes, adopter une attitude de lamentation qui fait que c'est mon coeur tout entier qui fond en larmes. Je ne deviens que larmes.

Mais pleurer n'est pas inné ; souvent je mêle à mes larmes de l'amertume, du ressentiment, de la colère... et cela altère la "qualité" de mes pleurs, c'est-à-dire qu'au lieu de faire uniquement fondre le Coeur du SEIGNEUR, je Le blesse en même temps.

Des textes dans la Bible nous apprennent à pleurer de manière parfaite. C'est peu à peu notre cri du coeur, en parfaites larmes, qui s'exprime.

C'est d'ailleurs ce qui permet aux larmes qui sortent de nos yeux de jouer pleinement leur rôle !

En voici un exemple :

Prière : livre des Lamentations chapitre 3  

 

1-6 : Demandes au SEIGNEUR

Comme je suis un être de dialogue, c'est un besoin chez moi d'exprimer ce que je ressens. Ma douleur insupportable doit être entendue auprès du SEIGNEUR ! Il peut être frappant, dans la Parole de Dieu, de découvrir la simplicité avec laquelle le bibliste parle à DIEU, parfois même en lui tirant les oreilles en raison de tous ses malheurs.

DIEU, de son côté, aime lorsque je lui parle, lorsque je maintiens le contact avec Lui. 

Je peux Lui parler librement, bien sûr. Mais il est encore plus pertinent de m'inspirer d'éléments bibliques, qui m'enseignent une manière juste de nouer le dialogue avec Celui qui peut tout. Et comme la Parole de DIEU est comme un ensemble de décrets divins, plus je cite de versets (en le faisant avec foi), plus notre PÈRE céleste se laisse attendrir.

Voyons-en quelques exemples.

 

1-6-1 : En utilisant un texte biblique et en se l'appropriant

Par exemple, en prenant modèle sur Yaébeç en 1 Ch 4, 10

Yaébeç invoqua le DIEU d'Israël en disant :
« Si vraiment tu me bénis, alors tu agrandiras mon territoire, ta main sera avec moi
et tu éloigneras le malheur pour que je ne sois pas dans la douleur. »
Et Dieu accomplit ce qu’il avait demandé.

Je peux donc dire, à mon tour : "SEIGNEUR, si vraiment tu me bénis, alors tu agrandiras mon territoire, ta main sera avec moi et tu éloigneras le malheur pour que je ne sois pas dans la douleur !!!" et rappeler à DIEU que c'est écrit dans sa Parole que ça doit s'accomplir si je proclame cette Parole.

 

1-6-2 : En formulant ma pensée plus librement, tout en l'émaillant de références bibliques

Exemple :

SEIGNEUR, je te rends grâce car tu m'as racheté-e par mon Très Saint Sacrement de Baptême.
Je suis donc une créature libre, car je suis passé-e par la mort avec Toi.
Tu t'es fait malédiction pour moi en mourant sur la Croix.
Alors pourquoi laisses-tu ta petite brebis se faire écraser par l'ennemi en furie ? Il me frappe sans relâche, me persécutant sans ménagement ! N'as-tu pas promis que tu donnerais ta vie pour que le loup ne dévore pas le troupeau ? Serais-tu donc un berger mercenaire ?
Viens me sauver, SEIGNEUR JÉSUS ! Que je ne sois pas victime de ta patience ! Car ton NOM a été invoqué sur moi, SEIGNEUR mon DIEU.
Même si du fait de ma souffrance c'est encore difficile pour moi de le dire, eh bien je te le dis quand même : JE T'AIME, SEIGNEUR !
Amen !

 

2 - Implorer le pardon du SEIGNEUR

Une des causes de mon mal-être est que je me sens loin du SEIGNEUR, en porte-à-faux vis-à-vis de Lui. Ma conscience sait que je L'ai blessé et cela provoque une bonne partie de ma douleur présente.

Il est nécessaire de Lui demander pardon !

Remarquons que dans l'Evangile, JÉSUS relie toujours le pardon et la guérison. 

 

2-1 : Le pardon du SEIGNEUR dans le Sacrement de Réconciliation

Le Sacrement de Réconciliation est un cadeau que l'Eglise catholique a reçu la mission d'utiliser le plus possible, lorsque le CHRIST a demandé à ses disciples de se laisser faire afin qu'Il leur lave les pieds, au soir du Jeudi Saint (Jn 13, 8).

Je vais voir un prêtre, en demandant à l'ESPRIT-SAINT de m'éclairer sur ce qui a blessé l'Amour de DIEU dans ma vie ; et avec la ferme résolution de ne plus pécher.

Et devant le prêtre qui a reçu le Sacrement de l'Ordre pour cela, je dis mes péchés qui d'après moi ont le plus blessé le SEIGNEUR.

Le prêtre me donne l'absolution et là je sais que je suis pardonné-e de tous mes péchés.

Outre mes péchés, je peux confier au prêtre des évènements qui ont blessé ma vie, le Sacrement les guérit, en plongeant la Croix du CHRIST dedans.

La grâce du Sacrement de Réconciliation est qu'en l'utilisant, DIEU régulièrement recrée des zones de notre âme d'une manière encore plus parfaite qu'à notre naissance (car nous avons de multiples blessures...)

Le Sacrement se prolonge dans l'action de grâce (c'est justement le sens du mot "Eucharistie" en grec). Autrement dit, si j'ai un vif désir de recevoir l'Eucharistie ou le Sacrement de Réconciliation, et que cela est impossible, si je prends le temps de prier en rendant grâce, de dire merci au SEIGNEUR, l'effet du Sacrement est alors réactualisé. Il me visite encore. Il me pardonne encore. L'épisode des 10 lépreux, par exemple, le montre (Lc 17, 11-19).

  

2-2 : Diverses prières de demande de pardon

Le SEIGNEUR n'attend pas que je pousse la porte du confessionnal afin de me pardonner ! D'après l'attitude du Père dans la Parabole du Fils Prodigue (Lc 15, 20), DIEU est fou de joie lorsque je fais un mouvement de retour vers lui, même si ma volonté n'est pas encore pure, comme en témoignent les vêtements sales et le but recherché par le fils lorsqu'il revient vers son père (il revient parce qu'il a faim).

Donc lorsque je m'humilie de manière sincère et répétée, le SEIGNEUR me pardonne mes péchés. Mais je ne sais pas toujours si je suis pardonné...

Beaucoup de prières plaisent au SEIGNEUR et m'attirent sa faveur au point d'être pardonné-e de péchés que j'ai commis. Saint Pierre lui-même dit que la charité couvre une multitude de péché (1 P 4, 8).

Par exemple celle-ci : la vénération de la Plaie peu connue que JÉSUS reçut à l'épaule durant sa Passion.

Il y a aussi le chapelet de la Divine Miséricorde, le Très Saint Rosaire...

Il est impératif de demander pardon régulièrement, c'est l'une des bases de la vie chrétienne.

  

2-3 : Le jeûne

Le jeûne, c'est se priver de quelque-chose qui nous coûte afin de plaire au SEIGNEUR (nourriture, télévision, paroles superflues, ...). Je peux aussi jeûner afin de demander pardon.

JÉSUS nous déclare, rappelant ce qui est dit dans l'Ancien Testament, que le jeûne qu'Il préfère, c'est de pratiquer la miséricorde et de préférence au moment où le SEIGNEUR le décide. En effet, la miséricorde couvre une multitude de péchés (1 P 4, 8). Autrement dit :

  • Me laisser interrompre par une personne qui a besoin de mon aide, surtout lorsque je suis en train de faire une chose qui me tient à coeur, est un vrai jeûne qui plaît au SEIGNEUR.
  • Décider de pardonner lorsque je me remémore une situation où une personne m'a blessé-e (même si le pardon est encore très difficile à donner complètement) est également un jeûne, un sacrifice de grande valeur.

En somme, cette période d'oppression que je vis, est une période où, pour reprendre les mots de JÉSUS, "l'époux m'a été retiré" : je n'ai plus le minimum vital qui me permet habituellement d'être dans la joie et d'avoir une paix intérieure. Je peux donc laisser le SEIGNEUR me guider intérieurement pour vivre un chemin de guérison car je lui offre tous ces petits jeûnes dans ces situations nouvelles qui se présentent à moi.

 

3 - Enlever ce qui me perturbe

Ces sales bêtes de l'angoisse, colère, tristesse, ... sont toujours sur moi. Je peux, au lieu de faire sortir ce qui est en moi (cf. ci-dessus), prier afin que le SEIGNEUR décolle de moi ces intrus qui n'ont rien à faire sur moi. Normalement c'est assez facile, vu que ce sont des esprits de "rang 3" qui sont incapables de rester accrochés si je demande au SEIGNEUR de les retirer de moi.

Plusieurs moyens sont à ma disposition : citons la prière d'autorité, certains Sacramentaux et l'invocation au Précieux Sang.

 

3-1 : La prière d'autorité contre les "crapauds"

En version courte, cela donne : 

Vous les esprits de... 
dans le NOM de JÉSUS, je vous commande de me quitter immédiatement,
sans toucher ni à moi, (ni aux personnes éventuellement présentes), ni à ma famille, ni à mes objets matériels,
et de vous présenter devant JÉSUS afin qu'Il dispose de vous.
Amen.
Béni sois-tu, SEIGNEUR !

Donc :

  1. Commencer par les nommer (colère, angoisse, obscénité, tristesse, ...) avec tous les mots qui me viennent et qui décrivent leur influence néfaste. Cela peut être aussi leur nom (si le SEIGNEUR ou quelqu'un qui prie avec moi me le révèle)
  2. Leur donner l'ordre de partir avec comme argument légal : le NOM de JÉSUS, devant lequel nul ne résiste car tout genou fléchit devant un si grand NOM. C'est un peu comme dire : "j'ai un mandat d'arrestation" ou "je suis de la CIA". Autres arguments possibles :
    • En vertu des Plaies du CHRIST
    • Par la Croix du CHRIST
    • Par les NOMS de JÉSUS, MARIE et JOSEPH
    • Par l'AGNEAU de DIEU
  3. Préciser où je ne veux pas que ces esprits aillent. En fait, en leur demandant de partir, c'est un peu comme si j'avais ouvert la clôture électrifiée du champ où je ne veux pas qu'ils restent. Et comme un troupeau de taureaux en furie, ils risquent d'aller dans le champ d'à côté. Or, les champs qui sont à côté du mien sont ceux des personnes de ma famille, nos objets matériels et éventuellement des personnes présentes à côté de moi.
  4. Dire où ils doivent se rendre : quand vous vous serez décollés de moi, allez auprès du CHRIST, sans faire de mal à personne. Il est possible également de leur demander des choses (on verra cela par la suite). Dans un premier temps, il est préférable de demander au CHRIST de les gérer, afin d'éviter tout orgueil de notre part.
  5. Terminer en bénissant le SEIGNEUR car Il le mérite bien ! Et cela m'évite de tomber dans le piège de focaliser sur les esprits mauvais. Car la vie chrétienne, ce n'est pas d'abord de chasser des démons, mais de se rapprocher du SEIGNEUR et de se réjouir parce que nos noms sont inscrits dans les Cieux (Lc, 10, 20).
  6. Parler sans énervement, éventuellement en chantant, mais ne pas vociférer car le risque est d'attirer d'autres esprits dérangeants. Si je suis trop sous le coup de la colère par exemple, alors la prière d'autorité n'est pas le bon remède du moment.

Cette prière pour chasser les crapauds peut être dite en version longue. A cet effet, des guérisseurs chrétiens ont écrits de multiples prières comme celle-ci, qui a l'immense intérêt de s'adresser à tous les types de crapauds qui existent (esprits de la terre, de l'air, du néant, du feu, de la nature), car je ne sais pas toujours exactement lesquels se sont collés à moi. Par exemple, il y en a peut-être un qui me déconcentre ou me fait éternuer et je n'aurais pas pensé que l'origine de cette tracasserie était spirituelle. "Esprit de l'air, de la terre..." est une autre manière de les nommer. Ces prières sont traditionnellement utilisées après avoir prié en prenant autorité  (par exemple pour que le SEIGNEUR réalise des guérisons), car lors de ces moments des crapauds se collent immanquablement à nous.

Pour résumer ce paragraphe, si si je prends l'habitude d'ausculter mon être intérieur pour voir s'il est en paix, lorsque je détecte un élément indésirable (par exemple l'agitation), je n'hésite pas à faire cette prière d'autorité (en version courte ou longue), afin que mon coeur revienne en paix.

 

3-2 : Utilisation de certains Sacramentaux

Mettre de l'eau bénite ou huile bénite, ou eau de Lourdes, ... sur la zone du corps qui est gênée ou pourquoi pas l'objet qui s'est encore arrêté de fonctionner, aura un effet comparable à cette prière d'autorité, lorsqu'on dit en même temps  "Je te bénis, au NOM du PÈRE, du FILS et du SAINT-ESPRIT" et on peut ajouter : "Par Marie".

Ces Sacramentaux sont en réalité des éléments un peu particuliers que le SEIGNEUR me donne comme aide afin de faire venir Son Règne, notamment par le fait que cela me libère des influences néfastes.

Ce qui fait la force de ceux-ci sont :

  • Le mouvement de foi qui est le mien lorsque je les utilise (je me signe d'une croix sur le front avec de l'huile bénite, par exemple)
  • Mais surtout le fait de prolonger la prière pendant les instants qui suivent par une oraison et une action de grâce.

 

3-3 : Invocation au Précieux Sang

Le Sang du CHRIST est une arme redoutable afin de balayer les ennemis, en particulier les "crapauds". En version courte : 

SEIGNEUR, viens me recouvrir de ton Précieux SANG afin que tous les esprits collés à moi s'en aillent.
Amen !
Béni sois-tu !

En version plus longue, il y a par exemple le chapelet de la Divine Miséricorde (ici), que j'utilise le soir en rentrant du travail pour moi et ma famille, afin qu'aucun "crapaud" que l'un de nous aurait ramené de l'école ou du travail (anxiété, esprit de cris ou de gros mots, ...) ne vienne gâcher notre soirée en famille.

Il y a aussi celle-ci reçue par Maria Valtorta, mystique, pendant la seconde guerre mondiale.

Le Précieux SANG me lave car il fait descendre le Pardon du SEIGNEUR sur moi, qui demande pardon aussi. Et ça, les "crapauds" ne le supportent pas, que je puisse s'excuser alors que peut-être que ce n'est pas moi qui suis coupable. Il faut avoir de l'amour en soi pour être capable de le faire !

 

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